samedi 31 décembre 2011
mardi 20 décembre 2011
Le DIAGNOSTIC ERNT
http://prix-immobilier.info/infos-immo/faire-ou-faire-faire-votre-diagnostic-ernt-invite/
mardi 13 décembre 2011
Les TAUX DE REDUCTION D'IMPOT 2012
Loi Scellier et loi Bouvard : les taux de réduction d'impôt 2012

Les taux de réduction d'impôt vont baisser en 2012 : tour d'horizon pour la loi Scellier et la loi Bouvard
Cette période transitoire ne sera toutefois possible que si vous avez pris soin de signer un contrat de réservation avant le 31 décembre 2011. Si vous avez signé ce contrat de réservation avant cette date, vous bénéficierez des taux de réduction d’impôt actuellement en vigueur pour 2011 : soit 22% pour le scellier BBC, 18% pour la loi Bouvard et 13% pour le Scellier non BBC.
Pour avoir toutes les informations sur les nouveaux taux de réduction d’impôt, voici un récapitulatif.
Si vous avez signé un contrat de réservation avant le 31 décembre 2011 ET que l’acte de vente est signé entre le 1er janvier 2012 et le 31 mars 2012, vous bénéficierez des taux de réduction d’impôt de 2011, soit 22% pour le Scellier BBC, 18% pour la loi Bouvard et 13% pour le Scellier non BBC.
Parallèlement si vous avez signé un contrat de réservation avant le 31 décembre 2011, mais que l’acte de vente est signé après le 31 mars 2012, vous bénéficerez des taux de réduction d’impôt 2012, soit 13% pour le Scellier BBC, 11% pour la loi Bouvard et 6% pour le Scellier non BBC.
Enfin si votre contrat de réservation est signé après le 31 décembre 2011, les taux de réduction d’impôt applicable seront ceux de 2012 soit : soit 13% pour le Scellier BBC, 11% pour la loi Bouvard et 6% pour le Scellier non BBC.
Conclusion pour bénéficier des réductions d’impôts majorées jusqu’au 31 mars 2012, il vous faut simultanement signé votre contrat de réservation avec le 31 décembre 2012 ET signer l’acte de vente avant le 31 mars 2012. Dans tous les autres cas les taux de réduction d’impôt seront ceux qui ont été fixés pour 2012.
lundi 12 décembre 2011
Le Sénat remanie le PTZ Plus et réintègre les logements anciens

Palais du Luxembourg, siège du Sénat
Le 7 novembre dernier, le Premier ministre François Fillon secouait le petit monde de l’immobilier en annonçant la réforme prochaine du prêt à taux zéro Plus. Une réforme qu’un amendement puis un sous-amendement, tous deux adoptés par les députés, ont profondément remaniée huit jours plus tard (le 15 novembre). Il semblait alors acté que le PTZ+ serait dès 2012 recentré sur l’acquisition d’un logement neuf et soumis à un plafond de ressource. C’était sans compter sur la commission des Finances du Sénat qui est revenue, ce mardi 29 novembre, sur bon nombre de points litigieux de cette réforme.
Les logements anciens réhabilités
S’ils n’ont eu de cesse de critiquer ce PTZ+ version 2012, les professionnels de l’immobilier comme les candidats à l’achat peuvent désormais pousser un ouf de soulagement. Les sénateurs se sont en effet prononcés pour une réintroduction de l’ancien au sein du dispositif. En l’état actuel des choses, l’acquisition d’un logement ancien peut donc de nouveau être partiellement financée avec un prêt à taux zéro Plus, sous réserve toutefois que celui-ci fasse l’objet de travaux de rénovation énergétique. Pour la sénatrice PS Nicole Bricq, également rapporteuse de la commission des Finances du Sénat, restreindre le PTZ+ à l’achat dans le neuf c’était avant tout « prendre le risque d’exclure nombre de jeunes ménages ne disposant pas de revenus suffisant pour acheter dans du neuf ».
Le plafond de ressources conservé mais relevé
Second point révisé par la commission, le plafond de ressources auquel seront soumis les ménages souhaitant profiter du PTZ Plus. Si le gouvernement avait initialement fixé celui-ci à 49.500 euros, les sénateurs viennent de le revoir à la hausse. Pour espérer pouvoir bénéficier d’un prêt à taux zéro Plus, le futur emprunteur devra donc justifier d’un revenu annuel inférieur ou égal à 64.875 euros.
Plus de moyens pour le PTZ+
Enfin, alors que le gouvernement envisageait un allègement très net de l’enveloppe budgétaire allouée au dispositif (passant le plafond de dépense autorisée de 2,1 milliards d’euros à 800 millions), celui-ci a été considéré comme excessif par les sénateurs. « Dès lors que le PTZ+ constitue désormais le seul dispositif en faveur de l’accession à la propriété, cette réduction est trop brutale », a déclaré la commission qui s’est prononcée pour un plafonnement à 1,2 milliards d’euros.
Réaliser une simulation de PTZ Plus
Si ces nouvelles mesures devront encore faire l’objet d’examens ultérieurs (devant le Sénat la semaine prochaine puis devant les députés), elles n’en constituent pas moins une première victoire pour les agents immobiliers. Militant pour que le PTZ+ dans l’ancien ne soit plus conditionné à des travaux de rénovation énergétique, la FNAIM a néanmoins immédiatement salué la prise de position de la commission, soulignant que « maintenir le PTZ dans l’ancien, c’est garder l’objectif d’une France de propriétaires et préserver la réalisation de 300 000 projets d’accession par des ménages modestes ».
mercredi 23 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
dimanche 9 octobre 2011
dimanche 3 juillet 2011
dimanche 26 juin 2011
mardi 21 juin 2011
BAISSE DU PRIX DU BARIL DE PETROLE
http://prix-immobilier.info/economie-generale/petrole-baril-sous-80-dollars/
Pour une fois où il y a une bonne nouvelle dans ce monde de brutes.....
Pour une fois où il y a une bonne nouvelle dans ce monde de brutes.....
dimanche 19 juin 2011
lundi 16 mai 2011
dimanche 15 mai 2011
vendredi 6 mai 2011
vendredi 22 avril 2011
mardi 19 avril 2011
lundi 18 avril 2011
jeudi 14 avril 2011
vendredi 8 avril 2011
lundi 28 mars 2011
dimanche 27 mars 2011
LE DROIT DE VISITE (priximmo)
Le droit de visite est réservé au propriétaire bailleur d’un logement. Le droit de visite permet au bailleur de visiter son logement hors jours férié et dans une durée inférieure à 2 heures. Cette visite immobilière est une dérogation au principe que le propriétaire doit pas troubler la jouissance du locataire.
mardi 22 mars 2011
Premières photos de la maison à ossature bois
Bonjour à tous
Construction d'une maison à ossature bois : je vous montrerai les photos au fur et à mesure ; pour voir les premières
Cordialement
Construction d'une maison à ossature bois : je vous montrerai les photos au fur et à mesure ; pour voir les premières
Cordialement
lundi 21 mars 2011
A lire attentivement avant de demande un crédit (par PRIXIMMO)
Acheter – Pour beaucoup de personnes comme moi, acheter est une prise de risque financière c’est pourquoi avant de passer à l’acte, il est nécessaire de réaliser ce que l’on appelle un plan de financement « immobilier » (oui on peut imaginer en faire pour d’autres choses que pour acheter une maison ou un appartement).
Cet article permet d’aborder le rôle de ce plan de financement, si vous souhaitez disposer d’un modèle de plan de financement ou simplement aller plus loin afin d’acheter un logement,
Dans un premier temps ce qu’il est nécessaire de savoir c’est pourquoi réaliser un plan de financement pour acheter :
- pour faire une demande de crédit auprès d’un établissement bancaire (ou de prêt) : cela n’est pas obligatoire mais cela montre votre sérieux et quoiqu’il arrive la banque ou l’établissement de crédit s’attachera à réaliser ce plan pour simuler votre situation financière.
- pour évaluer votre situation financière après le crédit : c’est quand même bien le but de savoir dans quelle situation vous serait après l’acte d’achat.
- vérifier son taux d’endettement : dans la théorie et traditionnellement il faut éviter d’aller au-delà de 33%. Il s’agit là de faire le ratio entre les charges fixes (emprunts, pensions, loyers…) et les revenus (salaire, rente…).
Taux d’endettement
Attention : ce ratio d’endettement de 33% est purement informelle, il n’est pas obligatoire de le respecter. Cependant il faut avoir en tête que dépasser ce ratio est considéré comme prendre de gros risques, il est même préférable de rester en dessous de celui-ci pour garantir une certaine sécurité.
Se confronter à la situation après crédit
Personnellement, j’ai réalisé un plan de financement pour moi avant tout, c’est à dire pour simuler ma situation financière après le crédit et avec le remboursement des mensualités.
Du coup pour se confronter à une situation réelle, il est nécessaire de réaliser quelque chose le plus abouti possible (j’ai par exemple pris en compte mes forfaits de téléphones…).
Ainsi, l’exercice est différent entre le plan de financement réalisé avec votre établissement de crédit et celui réalisé pour vous même. Le premier sera plus grossier et le second plus fin. Dans le second il s’git de prendre en compte le maximum de charges que vous êtes capable d’évaluer :
- les mensualités du crédit,
- l’impôt sur le revenu,
- la taxe d’habitation,
- la taxe foncière,
- les forfaits mobiles et internet,
- les charges liées à un voiture,
- le budget alimentaire…
Cette liste est bien sûre adapter à votre situation. Une fois ces charges comparées à vos entrées d’argent (salaires, rentes…) vous serez en mesure de juger si le risque est acceptable ou non.
Dans cette prise en compte du risque vous pouvez évaluer des évolutions futures souvent plus difficiles à prendre en compte :
- perte d’emploi,
- un ou plusieurs enfants à charge,
- mutation…
A travers tout cela, vous l’avez compris, le plan de financement est un élément essentiel dans la simulation d’un achat immobilier.
dimanche 20 mars 2011
LA GARANTIE D'ACHEVEMENT
Garantie d’achèvement
( Par Priximmo • 19 mar, 2011 • Catégorie: Lexique Ce billet a été lu 8 fois )La garantie d’achèvement est une garantie obligatoire en matière de construction de logement. La garantie d’achèvement ou de remboursement permet de garantir comme son nom l’indique l’achèvement des travaux. Dans le cas où ce résultat ne serait pas obtenu, le remboursement peut en être demandé.
samedi 19 mars 2011
Le droit de préemption
AUTEUR DE CET ARTICLE
- Jérôme Rousselle
- Avocat, Lmt Avocats
Maule, France
Le droit de préemption urbain permet à la commune de s'interposer entre un vendeur et un acquéreur et de se substituer à l'acquéreur trouvé par le vendeur.
Destiné à permettre à une commune de réaliser des projets d'intérêt collectif, ce droit se trouve être exercé de plus en plus fréquemment par certaines communes comme parade à la hausse des prix de l'immobilier.
En exerçant concrètement ce droit, ou en y recourant systématiquement sans aller au bout de la procédure, certaines communes cherchent ainsi à dissuader les vendeurs trop gourmands et à limiter la flambée des prix pour conserver une mixité sociale sur leur territoire.
La commune de Saint Ouen, par exemple, utilise ouvertement ce droit à cette fin.
Ce droit trouve à s'appliquer dans des zones préalablement définies par la commune sur tout ou partie de son territoire
et uniquement pour mettre en oeuvre des opérations d'intérêt général : par exemple réalisation d'équipements collectifs, valorisation du patrimoine, développement d'activités économiques, logements sociaux.
Le droit de préemption urbain concerne l'ensemble des mutations immobilières à titre onéreux : par exemple les ventes, échanges, apports en société, vente aux enchères volontaires ou forcées et tous les types de biens (terrains, constructions.
Le vendeur doit adresser un déclaration d'intention d'aliéner à la commune qui précise les conditions de la vente et surtout le prix demandé.
Tout propriétaire peut adresser une simple lettre à la mairie pour savoir si son bien peut faire l'objet d'une préemption mais le plus souvent cette démarche est effectuée lorsque le vendeur a trouvé un acquéreur potentiel et c'est le notaire chargé de la rédaction de l'acte qui envoie, au nom du vendeur, cette déclaration à la commune.
Cette formalité est substantielle car en son absence la commune peut introduire une action en justice devant le tribunal de grande instance dans les cinq ans qui suivent la vente afin de la faire annuler.
La commune peut renoncer à exercer son droit, soit par décision expresse, soit en ne répondant pas dans le délai de deux mois après la réception de la déclaration d'intention d'aliéner. Le vendeur peut alors vendre le bien, sans limitation de durée, aux conditions et prix définis dans la déclaration.
Si la commune notifie son intention d'exercer son droit en indiquant avec précision le motif invoqué, la vente est supposée conclue au prix annoncé et le vendeur est tenu de signer l'acte authentique de cession avec la commune.
Toutefois, la commune peut également notifier son intention d'exercer son droit de préemption à un prix inférieur à celui indiqué dans la déclaration d'intention d'aliéner.
Le propriétaire dispose alors d'un délai de deux mois pour formuler sa réponse écrite. S'il accepte le prix proposé par la commune, la vente est supposée parfaite.
S'il refuse le prix proposé, la commune doit saisir le juge de l'expropriation (au tribunal de grande instance), dans les quinze jours qui suivent le refus du propriétaire, pour demander une fixation judiciaire du prix. Le juge fixe alors la valeur du bien en fonction des différents paramètres en sa possession.
A cette occasion, le propriétaire peut notamment justifier que le droit de préemption n'est pas mis en œuvre aux fins de permettre la réalisation d'un projet d'intérêt général mais uniquement comme moyen de lutte contre les prix du marché.
L'exercice du droit de préemption peut alors être regardé comme abusif.
Lorsque le prix judiciaire a été fixé de façon définitive (après épuisement des voies de recours), il s'impose aux deux parties. Le propriétaire et la commune disposent de deux mois pour accepter la transaction soit expressément soit tacitement.
Si la commune refuse le prix judiciaire qu'elle considère encore trop élevé, le propriétaire peut vendre le bien à l'acquéreur de son choix au prix fixé par le tribunal dans un délai de cinq ans. Dans les deux mois qui suivent la fixation judiciaire définitive du prix le propriétaire peut également revenir sur son intention de vendre et conserver le bien.
Le propriétaire peut donc s'opposer à l'exercice de ce droit de préemption mais une telle opposition suppose une perte de temps qui peut, dans certains cas, s'avérer préjudiciable lorsque le vendeur s'est déjà engagé pour un autre bien et se trouve contraint s'assurer deux financements.
Destiné à permettre à une commune de réaliser des projets d'intérêt collectif, ce droit se trouve être exercé de plus en plus fréquemment par certaines communes comme parade à la hausse des prix de l'immobilier.
En exerçant concrètement ce droit, ou en y recourant systématiquement sans aller au bout de la procédure, certaines communes cherchent ainsi à dissuader les vendeurs trop gourmands et à limiter la flambée des prix pour conserver une mixité sociale sur leur territoire.
La commune de Saint Ouen, par exemple, utilise ouvertement ce droit à cette fin.
Ce droit trouve à s'appliquer dans des zones préalablement définies par la commune sur tout ou partie de son territoire
et uniquement pour mettre en oeuvre des opérations d'intérêt général : par exemple réalisation d'équipements collectifs, valorisation du patrimoine, développement d'activités économiques, logements sociaux.
Le droit de préemption urbain concerne l'ensemble des mutations immobilières à titre onéreux : par exemple les ventes, échanges, apports en société, vente aux enchères volontaires ou forcées et tous les types de biens (terrains, constructions.
Le vendeur doit adresser un déclaration d'intention d'aliéner à la commune qui précise les conditions de la vente et surtout le prix demandé.
Tout propriétaire peut adresser une simple lettre à la mairie pour savoir si son bien peut faire l'objet d'une préemption mais le plus souvent cette démarche est effectuée lorsque le vendeur a trouvé un acquéreur potentiel et c'est le notaire chargé de la rédaction de l'acte qui envoie, au nom du vendeur, cette déclaration à la commune.
Cette formalité est substantielle car en son absence la commune peut introduire une action en justice devant le tribunal de grande instance dans les cinq ans qui suivent la vente afin de la faire annuler.
La commune peut renoncer à exercer son droit, soit par décision expresse, soit en ne répondant pas dans le délai de deux mois après la réception de la déclaration d'intention d'aliéner. Le vendeur peut alors vendre le bien, sans limitation de durée, aux conditions et prix définis dans la déclaration.
Si la commune notifie son intention d'exercer son droit en indiquant avec précision le motif invoqué, la vente est supposée conclue au prix annoncé et le vendeur est tenu de signer l'acte authentique de cession avec la commune.
Toutefois, la commune peut également notifier son intention d'exercer son droit de préemption à un prix inférieur à celui indiqué dans la déclaration d'intention d'aliéner.
Le propriétaire dispose alors d'un délai de deux mois pour formuler sa réponse écrite. S'il accepte le prix proposé par la commune, la vente est supposée parfaite.
S'il refuse le prix proposé, la commune doit saisir le juge de l'expropriation (au tribunal de grande instance), dans les quinze jours qui suivent le refus du propriétaire, pour demander une fixation judiciaire du prix. Le juge fixe alors la valeur du bien en fonction des différents paramètres en sa possession.
A cette occasion, le propriétaire peut notamment justifier que le droit de préemption n'est pas mis en œuvre aux fins de permettre la réalisation d'un projet d'intérêt général mais uniquement comme moyen de lutte contre les prix du marché.
L'exercice du droit de préemption peut alors être regardé comme abusif.
Lorsque le prix judiciaire a été fixé de façon définitive (après épuisement des voies de recours), il s'impose aux deux parties. Le propriétaire et la commune disposent de deux mois pour accepter la transaction soit expressément soit tacitement.
Si la commune refuse le prix judiciaire qu'elle considère encore trop élevé, le propriétaire peut vendre le bien à l'acquéreur de son choix au prix fixé par le tribunal dans un délai de cinq ans. Dans les deux mois qui suivent la fixation judiciaire définitive du prix le propriétaire peut également revenir sur son intention de vendre et conserver le bien.
Le propriétaire peut donc s'opposer à l'exercice de ce droit de préemption mais une telle opposition suppose une perte de temps qui peut, dans certains cas, s'avérer préjudiciable lorsque le vendeur s'est déjà engagé pour un autre bien et se trouve contraint s'assurer deux financements.
mardi 22 février 2011
Un petit (et court) SONDAGE
Merci de m'aider en répondant à ce petit sondage
cliquez sur :
Merci par avance pour votre participation
Cordialement, Emmanuel
cliquez sur :
Merci par avance pour votre participation
Cordialement, Emmanuel
dimanche 20 février 2011
Un grand moment à partager en famille ou entre amis.....
| ![]() | Combat naval fleuri
| ![]() | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
![]() Une manifestation unique en France : une bataille de fleurs sur l’eau Une flotte de pointus, bateaux typiques du sud de la France, ornés de fleurs du pays composées en différents motifs défilent dans le port de la Santé de Villefranche-sur-Mer devant une foule nombreuse rassemblée sur les quais chaque lundi gras. Après un passage devant le public, les navigateurs en costume longent les quais et jettent leurs fleurs aux spectateurs. Le port de son bleu azur devient multicolore. De nombreuses animations ont lieu également sur les quais avec des troupes folkloriques. Programme 13h30 Défile de groupes folkloriques sur les quais du port de la Santé 14h30 Combat naval fleuri Port de la Santé - Accès libre 16h00 Aubade avec les groupes folkloriques Place Amélie Pollonnais L’accès à l’ensemble de la manifestation est gratuit Renseignements pratiques : Il est conseillé aux spectateurs de venir par le train (gare SNCF située à 100 mètres du lieu de la manifestation). Pour les spectateurs venant en voiture, il est conseillé de garer son véhicule avant 12h sur le parking de la plage des Marinières (parking de 400 places), parking dont ils ne pourront repartir qu’à l’issue de la manifestation. |
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